Il n’y a pas possibilité pour le personnel médical de déterminer à l’avance le moment auquel un défibrillateur va être utilisé. Toutefois, à chaque fois que son utilisation est requise, il est nécessaire qu’il soit en état d’usage puisqu’il en va de la vie humaine. C’est la raison pour laquelle, l’appareil subit beaucoup de tests de fonctionnement lorsqu’il n’est pas utilisé sur des patients. Pour choisir un tel appareil, il faut s’assurer de deux choses : qu’il puisse fonctionner à chaque sollicitation et il qu’il réponde aux normes d’usage.
Choisir un défibrillateur opérationnel et fonctionnel
La première des choses à faire lorsqu’on choisit un défibrillateur, c’est de s’assurer que son fabricant soit communément reconnu dans la production de matériel médical. Un fois cette exigence satisfaite, il faut maintenant vérifierquel’appareil est facile à utiliser et assez efficace pour être fonctionnel à chaque sollicitation. En effet, lorsqu’un défibrillateur est opérationnel et facile d’accès, il augmente la chance du personnel médical de sauver des vies. Les défibrillateurs de bonne qualité disposent d’électrodes pré connectées et non interchangeables. Ces derniers permettent ainsi un précieux gain de temps. Découvrez le défibrillateur Zoll, cet appareil fait partie des meilleurs du marché.
S’assurer de la conformité aux normes du Conseil Européen de Réanimation et de l’AHA
La corpulence et la morphologie des personnes à secourir sont des constantes qu’il faut prendre en compte dans l’utilisation d’un défibrillateur. Les chocs à donner sont réglés à l’aune de ces paramètres. Il est également préférable que le défibrillateur soit à même de donner des chocs supplémentaires plus puissants comparés au choc initial. Le but, c’est de pallier éventuellement le manque de puissance de ce dernier. Cela fait d’ailleurs partie des recommandations du Conseil Européen de Réanimation. Un défibrillateur doit intégrer dans son mode de fonctionnement un dispositif permettant de détecter les battements cardiaques. Cela a pour but d’augmenter les chances de survie des victimes d’arrêt cardiaque.